Mais le calme apparent se brise lorsque Cécilia lui révèle avec une froideur calculée qu’elle a craché dans la tasse. Sur le coup, Luna reste désemparée. Elle cherche à comprendre ce qui peut motiver une telle haine et lui demande avec insistance pourquoi elle s’acharne sur elle. En réponse, Cécilia ne lui offre que mépris et provocation. Elle sort une petite lame et la dépose devant Luna, insistant sur le fait qu’il serait préférable qu’elle mette un terme à ses jours, comme si cela réglait le problème.

Sous le poids de cette menace voilée, Luna, paniquée et cherchant désespérément de l’aide, finit par implorer le gardien de prison. Dans un élan de sincérité mêlé de terreur, elle lui montre la lame et lui explique que Cécilia est la cause de son malheur. « C’est elle qui veut ma peau, elle me persécute sans relâche, » déclare Luna. Le gardien, pourtant tenu de garder une neutralité professionnelle, adopte un ton menaçant. « Si cette lame est bien à vous, vos petits soucis actuels ne seront rien comparés à ce qui pourrait vous attendre, » la prévient-il, laissant Luna plus démunie encore. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Plus tard, le gardien confronte Cécilia dans un coin isolé du centre. Brandissant la lame, il la met en garde contre les conséquences de ses actes. « Si elle s’était taillé les veines, tu te rends compte de ce qui aurait pu arriver ? » lui reproche-t-il avec véhémence, ajoutant qu’il est de son devoir d’informer le directeur. Cependant, Cécilia déploie toute son habileté manipulatrice pour désamorcer la situation. Elle joue sur leurs liens personnels, se rapprochant de lui avec une séduction subtile mais efficace.

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Le spectateur découvre alors une révélation inattendue : Cécilia et le gardien sont en couple. Usant de leur relation à son avantage, Cécilia lui demande de prouver son amour en couvrant ses actions. « Protège-moi, c’est tout ce que je te demande, » insiste-t-elle avec insistance. Bien que réticent, il finit par céder, affirmant qu’il fera de son mieux pour éviter qu’elle ne soit inquiétée. Pourtant, il tente de la raisonner une dernière fois : « Laisse Luna tranquille, tu en as déjà assez fait. » Mais Cécilia, implacable, lui répond avec assurance : « Ne t’inquiète pas, je vais bientôt en finir avec elle. »

La journée s’annonce festive pour Babeth et Patrick, qui flânent dans les rues décorées de Marseille à la recherche des derniers cadeaux de Noël. Cependant, une notification inattendue sur le téléphone de Babeth vient bouleverser cette ambiance légère. Elle apprend que sa candidature pour une mission humanitaire a été acceptée, mais elle n’a pas encore révélé à Patrick que cette mission se déroulera en Grèce pendant deux mois. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Lorsque Patrick découvre la nouvelle, son incompréhension se mêle à l’inquiétude. « Tu ne vas pas vraiment nous laisser seuls pendant deux mois, en plein milieu des fêtes de fin d’année, n’est-ce pas ? » demande-t-il, visiblement troublé. Babeth, cherchant à le rassurer, dédramatise : « Mais non, c’est juste une idée folle. Je ne partirai pas, ce serait insensé. » Pourtant, un doute persiste dans son esprit.

De retour au commissariat, Patrick partage son malaise avec Jean-Paul, qui tente de lui apporter une perspective différente. « Tu sais, deux mois, ce n’est pas si long. Si c’est un rêve pour elle, tu devrais la soutenir. » Ces mots résonnent chez Patrick, bien qu’il ne puisse s’empêcher de regretter que son épouse puisse manquer les moments précieux de Noël en famille. Alors qu’il ouvre une case du calendrier de l’Avent, un message intrigant attire son attention : « Le chemin de l’amour s’appelle sacrifice. »

Plus tard dans la journée, Patrick rejoint Babeth au cabinet médical et lui pose une question lourde de sens : « Et si tu ne faisais pas ce voyage, est-ce que tu ne risquerais pas de le regretter toute ta vie ? » Ces mots amènent Babeth à une introspection profonde. « Je n’arrête pas d’y penser depuis ce matin, » avoue-t-elle. « Une petite voix en moi me pousse à dire oui. » En voyant le soutien de son mari, elle est profondément émue, sentant qu’il comprend l’importance de cette décision pour elle. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Au petit matin, au Mistral, Thomas cherche à en savoir plus sur le comportement étrange de Emma. Il aborde prudemment le sujet de sa récente absence, mais Emma finit par avouer : « Je n’ai pas vraiment foulé ma cheville. C’était une excuse pour pouvoir travailler. » Bien que Thomas semble soulagé par cette confession, il ne peut s’empêcher de se demander si elle cache autre chose, notamment en raison de sa récente rencontre avec un homme dans un hôtel de luxe.

Lorsque Baptiste rentre au Mistral avec Gabriel et leur fils Mathis, une confrontation éclate. Emma profite d’un moment en tête-à-tête pour révéler qu’elle a menti à propos de sa blessure. La réaction de Baptiste est immédiate : « J’ai tout laissé tomber pour toi, pour nous, et toi, tu joues à ça ? » Les tensions montent et la discussion vire à l’affrontement. « Je crois qu’on a tout dit, » conclut Baptiste, avant d’annoncer son intention de garder Mathis avec lui. Emma, bien que furieuse, semble désarmée.

En parallèle, Thomas et Gabriel tentent de réconforter Mathis, qui souffre de voir ses parents se disputer. Mais les drames continuent de se multiplier. En soirée, une nouvelle incroyable bouleverse la vie au Mistral : un bébé est abandonné dans un berceau, accompagné d’un mot mystérieux : « Je vous présente Romy, prenez-en bien soin, c’est votre petite fille. »