Episode 1839 diffusé le 19 décembre 2024

Découvrez le résumé complet de l’épisode 1839 de la série Demain nous appartient avec pausette.fr : Damien affirme avec conviction que le choc à la tête de Fred n’est pas le fruit d’un accident. Ce n’est pas un hasard ou une simple chute ; il s’agit bien d’un acte volontaire. Quelqu’un a sciemment frappé Fred. Ce geste n’est pas anodin, c’est une agression claire et directe. Damien insiste : quelqu’un a pris l’initiative de s’en prendre à lui délibérément, ce qui soulève de nombreuses interrogations sur les circonstances de cet acte.

De son côté, Victoire accompagne Romane pour qu’elle puisse voir son oncle, qui est actuellement sous respirateur. La petite fille est visiblement inquiète, la peur se lit dans ses yeux. Elle redoute que Fred ne se réveille jamais. Elle se rapproche doucement de lui, comme si elle voulait lui transmettre de l’espoir. D’une voix tremblante mais remplie d’amour, elle lui murmure un tendre « Je t’aime », espérant que ces mots lui parviennent, où qu’il soit.

Roxane, quant à elle, prend une décision difficile. Elle décide de vendre sa moto, un objet qui lui tient à cœur, car elle a absolument besoin d’argent. Cet argent n’est pas pour elle, mais pour faire un cadeau exceptionnel. Elle souhaite offrir quelque chose de spécial, quelque chose qui marquera les esprits et apportera du bonheur à quelqu’un qu’elle aime. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Bastien, lui, partage un moment complice avec Violette. Il lui raconte à quel point il est heureux de pouvoir passer Noël avec Mélody cette année. Ce Noël a une saveur particulière, car ils ont même trouvé une nouvelle tradition amusante : les pulls de Noël kitsch. Cette idée les fait sourire, et Bastien apprécie cette simplicité qui apporte une chaleur unique à leur relation.

De son côté, Rayane se sent un peu perdu à l’approche des fêtes. Il confie qu’il ne sait pas vraiment ce qu’il va faire pour Noël. Il ajoute avec une pointe de lassitude que, quoi qu’il arrive, passer Noël avec Romy et Karim n’est pas envisageable. Cette idée semble exclue, témoignant d’une tension persistante dans ses relations familiales.

Au commissariat, la tension est palpable entre Georges et Michaël. Ce dernier tente une nouvelle fois de s’excuser, conscient de la distance qui s’est installée entre eux. Il promet à Georges qu’il fera tout pour regagner sa confiance. Michaël lui assure qu’il l’aidera à y voir plus clair et qu’il ne laissera plus aucun doute planer à son sujet. Leur travail les mène à une découverte intrigante : dans la salle de repos où un meurtre avait eu lieu, ils trouvent une caméra cachée dissimulée dans une horloge. Cette découverte pourrait être cruciale pour prouver que Lorena n’était pas dans son état normal. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Pendant ce temps, Thibault Rosset, un employé de la chocolaterie où travaillait Lorena, est de passage à Sète. Il surprend une conversation entre Mona, Audrey et Bart, où il est question de Romane et Fred. Curieux, il interroge Mona sur l’état de Fred. Celle-ci lui répond avec enthousiasme que Fred est un véritable miraculé et qu’il va se réveiller. Thibault apprend également que Fred est hospitalisé à Saint-Clair.

Plus tard, Thibault se rend dans la chambre de Fred. Victoire, sur le point de quitter la pièce avec Romane, s’arrête lorsque la petite lui demande de faire un dernier bisou à son oncle. Pendant que Victoire est au téléphone avec Georges, Romane s’avance seule vers Fred. Soudain, Thibault s’approche de Fred et, sans hésitation, l’étouffe avec un coussin. Romane, horrifiée, tente de s’enfuir, mais Thibault la rattrape. Il lui ordonne de garder le silence et la menace : si elle parle à quelqu’un de ce qu’elle a vu, il reviendra pour tuer son oncle. La peur s’empare de la fillette, qui se retrouve prisonnière de ce lourd secret.

Rayane, de son côté, se rend au cimetière pour voir la tombe de Malik, son père. Face à la pierre tombale, il reste silencieux, ne sachant pas vraiment quoi dire. Il confie à demi-mot qu’il aimerait pouvoir être heureux, tout comme Bastien et Mélody. Cependant, il n’arrive pas à faire semblant que tout va bien au sein de sa famille, qu’il considère comme dysfonctionnelle. Karim, qui vient également au cimetière avec un bouquet de fleurs pour son frère, s’adresse à Rayane. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Il partage avec nostalgie un souvenir d’enfance, celui du jour où il a découvert que le Père Noël n’existait pas. Avant de partir, Karim se tourne vers Rayane et lui dit sincèrement qu’il sera toujours là pour lui, quoi qu’il arrive.

Sara, quant à elle, pense que la moto de Roxane a été volée. Elle décide de ne rien lui dire pour l’instant, convaincue qu’ils peuvent la retrouver. Elle partage ses doutes avec Nordine, qui se lance un défi : il retrouvera la moto coûte que coûte.

Après quelques recherches, Nordine finit par localiser la moto et amène son nouveau propriétaire au commissariat. Ce dernier affirme l’avoir achetée en toute légalité, mais Nordine reste sceptique. Lorsque Roxane arrive, elle clarifie la situation, et Nordine s’excuse pour ce malentendu, visiblement embarrassé. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Rayane finit par se rendre au commissariat pour voir Karim. Ce dernier lui avoue qu’il a fait des erreurs et qu’il ne sait plus comment s’y prendre avec lui. Il explique qu’il a l’impression de tout faire de travers, mais qu’une chose est certaine : il aime profondément son fils et veut retrouver la complicité qu’ils avaient autrefois. Rayane, touché par les paroles de Karim, laisse finalement éclater ses émotions et fond en larmes dans les bras de son père.

Enfin, Victoire exprime sa gratitude envers Samuel pour tout le soutien qu’il lui apporte, à elle et à Romane. Samuel, avec une bienveillance naturelle, lui répond que c’est tout à fait normal. Victoire lui demande alors une faveur : préparer le dîner pour Romane, car elle doit finir tard sa garde à l’hôpital. Samuel accepte volontiers, prouvant une fois de plus sa fiabilité et son soutien indéfectible.