Episode 204 diffusé le 1er novembre 2024

Découvrez le résumé complet de l’épisode 204 de la série Plus belle la vie, encore plus belle avec pausette.fr : À la résidence Massalia, la soirée tant attendue « Día de los Muertos » démarre avec éclat. Steve, l’organisateur, monte sur scène pour accueillir et remercier les invités avant de lancer officiellement la fête. Les convives, tous vêtus de costumes éclatants et arborant des masques mexicains en hommage aux traditions de la fête mexicaine des morts, créent une ambiance festive et colorée.

Apolline en profite pour interroger Steve sur la localisation des boissons. Quelques instants plus tard, elle sirote déjà un cocktail, visiblement ravie. Steve la regarde, satisfait de constater qu’elle semble s’amuser. Cependant, fidèle à elle-même, Apolline ne peut s’empêcher de faire une remarque tranchante :

« On m’avait promis des sensations fortes… Franchement, ça manque de frisson, ça devient lassant, » lance-t-elle. Steve lui rétorque alors avec un sourire que l’intention n’était pas de faire peur, mais de célébrer la culture mexicaine. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Un peu plus tard, Steve lève son verre avec Camille, une nouvelle amie spécialiste des traditions mexicaines liées à la Fête des Morts. Ravie de participer à cet événement, elle propose à Steve de danser.

En les voyant, Nisma se sent légèrement peinée et détourne les yeux. Elle remonte ensuite dans sa chambre, où elle croise Vadim, interprété par Léo Mazo, qui, fidèle à lui-même, commence par lui lancer quelques piques. Loin de se laisser déstabiliser, Nisma riposte, et une complicité inattendue émerge. Petit à petit, ils se rapprochent jusqu’à ce que Nisma prenne l’initiative d’embrasser Vadim.

C’est à cet instant que Steve, son ancien petit ami, passe par là et les aperçoit. Pris de court, il fait mine de n’avoir rien vu et s’éloigne discrètement. Nisma, de son côté, n’a pas remarqué sa présence. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Pendant ce temps, Ariane, vêtue d’une combinaison noire et masquée pour garder l’anonymat, arrive à la fête. De l’autre côté de la ville, Zoé se retrouve sous la surveillance d’Éric, qui la garde menottée à une chaise pour l’empêcher de se mêler à ce qui se prépare. Zoé, inquiète et frustrée, craint pour sa mère et insiste auprès d’Éric : « Elle est sûrement dans les sous-sols. Je sais ce qu’elle tente de faire ! » Finalement, Éric, convaincu par sa détermination, décide de libérer Zoé pour qu’elle puisse aller soutenir sa mère.

Ariane s’aventure dans les tunnels sous la résidence Massalia quand elle entend une voix l’appeler : c’est Zoé, venue à son secours. Après des retrouvailles brèves mais intenses, Zoé propose qu’elles accomplissent le casse ensemble. « Tu vas avoir besoin de moi, il nous reste moins de deux heures pour remettre le butin, » affirme Zoé avec assurance. Finalement, Ariane accepte et les deux s’enfoncent ensemble dans les tunnels.

Après quelques minutes de progression dans ce passage confiné, Ariane commence à suffoquer, visiblement submergée par la claustrophobie. Entre deux respirations, elle confie à Zoé : « Depuis l’enfance, je suis prise de panique dans les endroits clos. Vas-y sans moi… Je ne peux pas continuer. » Zoé la rassure et parvient à apaiser sa mère, lui redonnant peu à peu le courage de poursuivre. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

Bientôt, elles atteignent leur objectif : une première porte. Elles ouvrent un placard et réussissent à désactiver les caméras de surveillance. Zoé, avec précision, explique à sa mère que l’objet à dérober est un précieux masque mexicain exposé dans la salle d’exposition.

Elle s’élance avec agilité et parvient à subtiliser le masque, revenant à son point de départ en 27 secondes, soit un peu trop tard par rapport au plan initial. Contre toute attente, l’alarme ne se déclenche pas.

C’est alors que le gardien de l’exposition entre dans la salle en compagnie de sa petite amie. Ariane et Zoé, dissimulées derrière un mur, retiennent leur souffle. Le gardien, remarquant la disparition du masque, panique et s’empresse d’alerter la police. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>

En toute discrétion, Ariane et Zoé empruntent de nouveau le tunnel pour se mettre en sécurité. Mais, à quelques mètres de la sortie, Zoé s’arrête soudain et lance, paniquée, à sa mère : « Je ne peux plus bouger… j’ai le pied posé sur une mine. »